God Without Rewards / Aimer Dieu sans attendre de récompense


Loving God Without Rewards


Job 1:9 (KJV)

“Then Satan answered the LORD, and said, Doth Job fear God for nought?”

Much of modern faith is built around expectations. Many believers come to God trusting Him for protection, provision, favor, and breakthrough. These desires are not wrong, but they can quietly shape a conditional love for God. We obey because we expect results. We serve because we anticipate reward. The uncomfortable question Scripture forces us to face is this: would we still love God if obedience brought loss instead of gain?

This question strikes at the very motive of our faith. Satan himself raised it concerning Job when he implied that Job’s devotion was transactional, suggesting that Job feared God only because God had blessed him, for “hast not thou made an hedge about him, and about his house, and about all that he hath on every side?” (Job 1:10, KJV). The accusation was clear: remove the rewards, and devotion will collapse.

God allowed Job’s life to test that question. When everything Job valued was stripped away, his response revealed a faith not rooted in benefits but in reverence, as he declared, “The LORD gave, and the LORD hath taken away; blessed be the name of the LORD” (Job 1:21, KJV). Loving God without rewards means blessing Him not only for what He gives, but for who He is.

Many believers struggle when obedience becomes costly. When prayers seem unanswered, when righteousness leads to rejection, and when faithfulness attracts misunderstanding, disappointment easily sets in. Yet Scripture never promised that obedience would always be rewarded immediately or visibly. Jesus Himself made this clear when He said, “If any man will come after me, let him deny himself, and take up his cross, and follow me” (Matthew 16:24, KJV). A cross is not a symbol of comfort; it is a symbol of surrender.

The Bible records people who obeyed God at great personal cost. Moses chose identification with God’s people over privilege, _*“esteeming the reproach of Christ greater riches than the treasures in Egypt”*_ (Hebrews 11:26, KJV). His obedience delayed comfort but secured eternal approval. True love for God values His pleasure above immediate reward.

Jesus confronted reward-centered faith when crowds followed Him for what He could give rather than for who He was, saying plainly, “Ye seek me, not because ye saw the miracles, but because ye did eat of the loaves, and were filled” (John 6:26, KJV). When faith is fueled by benefits, it fades when benefits disappear.

Loving God without rewards means trusting His wisdom even when outcomes are painful. It means echoing the resolve of Habakkuk, who declared that even if every visible sign of blessing failed, his devotion would remain, saying, “Although the fig tree shall not blossom, neither shall fruit be in the vines… yet I will rejoice in the LORD, I will joy in the God of my salvation” (Habakkuk 3:17–18, KJV). This is faith that has passed beyond transactions into transformation.

At the heart of this devotion is the “why” of our faith. Do we love God for His hand or for His heart? Do we trust Him only when He explains Himself, or even when He remains silent? Jesus demonstrated this ultimate love on the cross when, despite abandonment and suffering, He surrendered fully to the Father, saying, “Father, into thy hands I commend my spirit” (Luke 23:46, KJV). Obedience did not spare Him pain, but it fulfilled divine purpose.

Godly love matures when it no longer demands proof through rewards. Scripture reminds us that God Himself is the reward, for “the LORD is the portion of mine inheritance” (Psalm 16:5, KJV). When God becomes enough, circumstances lose their power to dictate devotion.

If God never answered another prayer the way you hoped, would He still be worthy of your obedience? Is your love anchored in what God gives or in who God is? True love for God remains when rewards are removed.

It is my prayer that the Lord will purify our love for Him. May He deliver us from a reward-centered faith, teach us to trust You when obedience costs us comfort, reputation, or clarity. Let our devotion be rooted in who You are, not in what we receive. In Jesus Name, Amen.

Have a blessed week ahead.

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Aimer Dieu sans attendre de récompense


Job 1:9 (LSG)

« Satan répondit à l’Éternel : Est-ce d’une manière désintéressée que Job craint Dieu ? »

Une grande partie de la foi moderne est façonnée par les attentes. Beaucoup de croyants viennent à Dieu en espérant la protection, la réussite, la faveur ou une percée. Ces désirs ne sont pas mauvais en eux-mêmes, mais ils peuvent discrètement installer une relation conditionnelle avec Dieu. Nous obéissons parce que nous attendons des résultats. Nous servons parce que nous anticipons une récompense. Pourtant, l’Écriture nous confronte à une question troublante : aimerions-nous encore Dieu si l’obéissance nous coûtait au lieu de nous avantager ?

Cette question touche au cœur même de notre foi. Satan l’a soulevée à propos de Job, insinuant que sa piété était fondée sur les bénédictions reçues, car Dieu avait mis « une haie autour de lui, autour de sa maison et autour de tout ce qui lui appartient » (Job 1:10, LSG). L’accusation était claire : retire les récompenses, et la dévotion disparaîtra.

Dieu a permis que la vie de Job mette cette accusation à l’épreuve. Lorsque tout ce qui lui était cher lui fut enlevé, la réponse de Job révéla une foi enracinée non dans les bienfaits, mais dans la révérence : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni » (Job 1:21, LSG). Aimer Dieu sans attendre de récompense, c’est Le bénir non seulement pour ce qu’Il donne, mais pour ce qu’Il est.

Beaucoup de croyants vacillent lorsque l’obéissance devient coûteuse. Lorsque les prières semblent rester sans réponse, lorsque la fidélité conduit au rejet, et lorsque la justice attire l’incompréhension, la déception s’installe facilement. Pourtant, l’Écriture n’a jamais promis que l’obéissance produirait toujours des résultats immédiats ou visibles. Jésus l’a clairement affirmé : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive » (Matthieu 16:24, LSG). La croix n’est pas un symbole de confort, mais de renoncement.

La Bible présente des hommes et des femmes qui ont obéi à Dieu à un grand coût personnel. Moïse a préféré s’identifier au peuple de Dieu plutôt que de jouir des privilèges du palais, « estimant l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte » (Hébreux 11:26, LSG). Son obéissance a retardé le confort, mais elle a assuré l’approbation éternelle. L’amour véritable pour Dieu place Son plaisir au-dessus des bénéfices immédiats.

Jésus a confronté une foi centrée sur la récompense lorsque des foules Le suivaient pour ce qu’Il pouvait donner plutôt que pour ce qu’Il était, leur disant sans détour : « Vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés » (Jean 6:26, LSG). Une foi nourrie par les avantages s’éteint lorsque ces avantages disparaissent.

Aimer Dieu sans attendre de récompense, c’est Lui faire confiance même lorsque les résultats sont douloureux. C’est adopter la résolution d’Habakuk, qui déclara que même si tous les signes visibles de bénédiction venaient à manquer, sa dévotion demeurerait : « Car le figuier ne fleurira pas… néanmoins, je me réjouirai en l’Éternel, je me réjouirai dans le Dieu de mon salut » (Habakuk 3:17–18, LSG). C’est une foi qui a dépassé l’échange pour entrer dans la transformation.

Au cœur de cette dévotion se trouve le “pourquoi” de notre foi. Aimons-nous Dieu pour Sa main ou pour Son cœur ? Lui faisons-nous confiance seulement lorsqu’Il s’explique, ou même lorsqu’Il se tait ? Jésus a incarné cet amour suprême sur la croix lorsque, malgré l’abandon et la souffrance, Il s’est entièrement remis au Père en disant : « Père, je remets mon esprit entre tes mains » (Luc 23:46, LSG). L’obéissance ne L’a pas épargné de la douleur, mais elle a accompli le dessein divin.

L’amour selon Dieu mûrit lorsqu’il ne réclame plus de preuves sous forme de récompenses. L’Écriture nous rappelle que Dieu Lui-même est la récompense, car « l’Éternel est la part de mon héritage » (Psaume 16:5, LSG). Lorsque Dieu devient suffisant, les circonstances perdent leur pouvoir de diriger notre dévotion.

Si Dieu ne répondait plus jamais à tes prières comme tu l’espères, serait-Il toujours digne de ton obéissance ? Ton amour est-il enraciné dans ce que Dieu donne ou dans ce qu’Il est ? Le véritable amour pour Dieu demeure lorsque les récompenses disparaissent.

Je prie pour que le Seigneur purifie notre amour pour Lui. Qu'Il nous délivre d'une foi appâtée par la récompense, qu'Il nous apprenne à Te faire confiance même lorsque l'obéissance nous coûte confort, réputation ou lucidité. Que notre dévotion soit enracinée en Toi, et non dans ce que nous recevons. Au nom de Jésus, Amen.

Je vous souhaite une excellente semaine.

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